La Mairie de Sainte Bazeille organise un forum des sports chaque année.
Le club d'Aïkido participe à cette initiative. C'est l'occasion pour nous de
présenter cet art martial si différent en vous donnant quelques démonstrations.
Nous vous invitons aussi à monter sur les tatamis, ce peut être pour vous l'occasion
d'entrevoir ce qu'est cet art martial de défense non-violent.
Le forum a lieu le dimanche 8 septembre de 14h à 18h. Si la chance vous sourit,
vous gagnerez peut-être une inscription gratuite !
Alain Guillabert, 6ième dan, et Ludovic Caudéran, 5ème dan Aïkikai assureront le cours adultes. aux dates suivantes :
- Le lundi 7 octobre 2019 - Alain Guillabert.
- Le lundi 25 novembre 2019 - Ludovic Caudéran.
- Le lundi 2 décembre 2019 - Alain Guillabert.
- Le lundi 3 février 2020 - Ludovic Caudéran.
- Le lundi 9 mars 2020 - Alain Guillabert.
- Le lundi 18 mai 2020 - Alain Guillabert.
Les licenciés des autres clubs sont gracieusement invités.
P
arti au Japon en 2005, Ludovic Caudéran, maintenant 5ème dan Aïkikaï, est revenu à Mérignac en septembre dernier.
Lorsqu’il était jeune, ses parents habitaient Saint-Jean-d’Illac et il a commencé l’aïkido au dojo de Martignas en 1993.
Une révélation
« Mon beau-père me parlait souvent de cette discipline et c’est ce qui m’a donné envie, souligne Ludovic Caudéran.
J’ai débuté à 13 ans et à 19 ans, très attiré par le Pays du soleil levant, j’ai participé au concours de la Fondation
franco-japonaise Sasakawa et, contre toute attente, j’ai décroché le grand prix en expliquant ma passion pour cet art.
Je suis parti cinq semaines à Kyoto et Tokyo et j’ai découvert le centre mondial de l’aïkido : l’Aïkikaï. L’atmosphère
du dojo était extraordinaire et j’ai compris à ce moment là quel était mon destin. »
«Ludovic Caudéran rentre en France pour terminer ses études de communication et repart pour un an, en 2002, avec un visa
vacances travail pour approfondir l’étude de l’aïkido. Il décide de s’installer à Tokyo en 2005, juste à côté du célèbre
dojo, et il y restera près de quinze ans. « J’ai pris conscience du travail à accomplir et des différences qui
existaient entre l’aïkido français et le japonais, explique Ludovic Caudéran. Je travaillais et je faisais souvent
quatre à cinq heures d’aïkido dans la journée. La rencontre avec Maître Yasuno (8ème dan) fut déterminante, son cours
était une explosion d’énergie. Je me suis peu à peu rapproché de lui et j’ai pu l’accompagner et l’assister dans de
nombreux voyages. »
source : Sud-Ouest